Myles Sanko

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Juil.

3
Juil.

Dimanche 3 Juillet

14:00 – Scène du Jardin des Roses

Entourée de ses fidèles musiciens, cette valeur sûre de la soul contemporaine présente son tout dernier album, le bien nommé Memories of Love.

MYLES SANKO : Chant | RIC ELSWORTH : Batterie | TOM O’GRADY : Piano | JON MAPP : Basse | ERIC DUVEL : Guitare | GARETH LUMBERS : Saxophone, Flûte

 

Myles Sanko est né au Ghana au début des années 80, d’une mère ghanéenne et d’un père breton, et marin. L’Afrique de l’Ouest sera le décor de son enfance, mais à la séparation de ses parents, il suit sa mère et ses deux sœurs à Cambridge, en Angleterre. C’est là qu’il découvre le rap, et notamment le groupe A Tribe Called Quest. Sa vocation est toute trouvée. Il a vingt ans lorsqu’il chante ses textes pour la première fois, et fait entendre sa formidable voix de soulman. En 2007, il abandonne définitivement une carrière d’ingénieur en devenir pour vivre de sa passion. De performances dans les clubs à des collaborations fructueuses — avec Speedometer, Martha High ou Thierry Los — en passant par la création d’un groupe d’improvisation (Bijoumiyo), l’auteur-compositeur-interprète va développer son univers personnel, élégant et raffiné : un cocktail chaleureux de jazz, de soul et de pop. Adoubé par Gregory Porter, Myles Sanko va éprouver son talent de performer dans les festivals et clubs de jazz internationaux. En 2021, il publie Memories Of Love, son quatrième album et le plus personnel selon lui. Il l’a produit et composé avec son collaborateur de longue date, Tom O’Grady, et enregistré avec les musiciens qui l’accompagnent depuis des années. “Ce disque parle d’amour, d’espoir et de politique. Il y a une part de moi dans chaque chanson.” C’est avec sa fidèle équipe qu’il présente à Enghien ce faisceau de titres au premier rang desquels l’imparable Whatever Your Are. Avec Tom O’Grady au piano, Ric Elsworth à la batterie, Jon Mapp à la basse, Eric Duvel à la guitare, Gareth Lumbers au saxophone et Myles Sanko au chant, la soul n’a pas dit son dernier mot.

© Simon Buck